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Sourires
6 janvier 2008

*

A    u tout début, il n'y avait rien, ou à peine
U    n dé à coudre de matière première… C'est

D    ire s'il y avait du travail sur la planche !…
E    t la tâche Lui fut ardue : par quoi commencer ?
B    utant sur cette interrogation, Il établit, en une semaine
U    n planning, chaque jour précisément détaillé et chargé
T    ant il y avait à faire, du lundi au dimanche…

E    nsuite, Il retroussa Ses manches, puis
T    oussa et vocalisa pour se délier la voix. Après quoi,
A    vec concentration, tenant le dé à coudre entre Ses doigts,
I    l souffla, puissamment souffla en malaxant,
T    out en se rêvant le monde tel qu'il Lui aurait plu…

L    e seul inconvénient -et de taille- c'est que, malencontreusement, Il
E    ternua… Et ça, au programme, ça n'avait pas été prévu !…

V    oilà donc ce qui se passa il y a maintenant fort longtemps…
E    t voilà où nous en sommes au jour d'aujourd'hui…
R    ien n'est perdu, non ! Mais convenons
B    on an, mal an, que nous trébuchons
E    stropiés par un éternuement !!…
(Octobre 1997)

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Commentaires
C
ta faute de frappe s'est envolée<br /> <br /> pourvu qu'elle ne se pose pas sur mon clavier
A
.... Vous pourrez donc revenir en deuxième semaine car zaviez raison, hein ("estropiés" et non "estrophiés")... Ouf ! j'suis rassurée, moi, j'suis faillible.... donc "humaine" !
C
emporté par tout ce qui est conventionnel en moi , j'avais lu estropié <br /> puis je me suis apperçu de mon erreur<br /> transfomés en strophes , <br /> apo , par exemple<br /> en cata<br /> pas étonnant que nous soyons bousculés
Sourires
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